Le titre est racoleur, mais en même temps, fait un peu écho à la conversation que j’ai eu avec Étienne à la tête de son entreprise La maréchalerie de la côte des légendes : Il y a quelques années après avoir travaillé pour un maréchal ferrant il décide de revenir dans le coin. Il s’inscrit à Pôle emploi, ex-ANPE désormais France Travail (les noms changes…), où il indique souhaiter créer son entreprise de maréchalerie : la réponse de la conseillère est sans appel « ça n’existe plus comme métier ».
Figurez vous que en 2024 (2018 à l’époque), les chevaux ne sont plus ferrés ni parrés, ils se font les ongles tout seuls, et portes des basket ou des sandales selon la saison…).
Tout ça pour présenter le mini reportage que j’ai fait sur le vif en même temps que Étienne expliquait à nous expliquait (enfants, amis, famille), les différentes étapes de son travail sur les chevaux.